Qu’est ce que le bonheur ?

La semaine dernière, je posais à la volée, la question suivante :

« Finalement, c’est quoi le bonheur ? »

Les réponses ont été nombreuses, chacun y allait de sa propre sa définition.

Quelques extraits de réponses :

  • Le plaisir du partage, la satisfaction du bien-être des autres, se lever le matin sans  » nuages  » dans l’esprit et le cœur, la joie communicative autour de soi, le sourire des enfants, les petits bonheurs simples…
  • Cité F.Lopez: « Si le bonheur était une pièce… ce serait une salle d’attente » et ajouté en effet, on attend trop souvent qu’il vienne alors qu’il est là, chaque jour que Dieu fait.
  • De te retrouver là presque chaque jour. Ainsi que d’autres.
  • Et si c’était justement rien ? 
  • Et si justement le bonheur était juste être soi ?
  • Un sourire et un mot gentil, une bonne rigolade avec les amis, pouvoir admirer la beauté de la nature.
  • La combinaison de tout ce qui se présente à notre vie forme le bonheur. A nous d’apprécier sa grandeur. Et sans chercher à le mesurer au bonheur des autres.
  • être connecté ici là et maintenant…et pouvoir apprécier et profiter ce qui rend notre présent parfait.
  • Une respiration.
  • Pouvoir s’enrichir d’autant de réponses différentes.
  • un petit oiseau qui se secoue dans la flaque d’eau, ou bien un moment partagé avec des copines, le sourire d’un petit enfant, un bon bouquin, un bon film, une super comédie musicale, un repas qu’on partage avec de bons amis, un tableau bien fait et qui plaît, un appel de ses enfants, la vue de la mer de mes fenêtres, finalement tout ce que la nature nous propose c’est certainement ça le bonheur et , si il y a de l’amour en plus c’est vraiment le bonheur.
  • Je dirais que le bonheur est là si il y a gestion des émotions, ouverture d esprit et du cœur et non jugement.
  • On n’est jamais heureux que dans le bonheur qu’on donne. Donner, c’est recevoir.
  • « Si tu veux être heureux, sois-le. » Proverbe chinois, repris par Tolstoï, etc.

Finalement, c’est quoi ?

Selon Einstein :« Une vie tranquille et modeste ».

Selon Schopenhauer, le bonheur se mesure aux maux que l’on a évités, et non aux plaisirs que l’on a goûtés. Il ne faut pas vivre heureux, mais le moins malheureux possible, donc pour Schopenhauer, la définition du bonheur se fait par la négative.

Quant à Frédéric Lenoir, «Le bonheur, c’est la conscience d’un état de satisfaction global dans une existence signifiante fondée sur la vérité. L’expérience des plaisirs ne suffit pas. Il faut donner du sens à la vie, ce qui va nous permettre de hiérarchiser nos valeurs, nos choix. Ce sens, chacun se le donne. Il n’existe pas de sens valable pour tous. La philosophie nous permet de comprendre qu’il y a des contenus du bonheur qui sont différents d’un individu à l’autre.»

bonheur 3

En se réfèrant tout simplement, au dictionnaire, le bonheur est un état de satisfaction complète, stable et durable.

Finalement, le bonheur ne serait-ce pas de pouvoir donner sa propre définition, en accord avec soi-même ?

La balle est dans votre camp, à vous de jouer !

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